Léa, Clémence et Léa I. ont reçu du soutien pour créer Éclore. Éclore est un organisme à but non lucratif qui vise à insuffler un nouvel élan à la mobilisation socio-écologique au Québec en lui permettant, par la création de maillages avec les arts vivants, de rassembler et de bâtir de nouveaux récits pour une suite du monde plus juste et durable.

Le Forum Leaders autistes est un événement d’une journée, par et pour les personnes autistes, qui avait pour objectif de sensibiliser les personnes de divers domaines (écoles, milieux professionnels, etc.) à la neuro-diversité, particulièrement à l’autisme.

Le Eumc-Uqam est un groupe étudiant qui parraine des jeunes réfugié·e·s afin qu’ils puissent venir au Canada et étudier à l’UQAM. Ils ont organisé une bibliothèque humaine pour sensibiliser la communauté étudiante à la la situation des personnes réfugiées dans l’université et l’enjeu de leur intégration.

Jade est une artiste de la danse, directrice artistique, vidéaste et photographe spécialisée dans la santé utérine et la réappropriation du corps à la suite de traumatismes physiques et\ou sexuels. Elle a eu l’idée de l’événement pour créer un court-métrage et une série de photos qui met en parallèle la relation au corps et à la nature. Le lien qui existe visiblement entre la manière dont on traite le corps humain et la nature (viol, pillage, agression, violence, destruction, etc.) L’art est un moyen pacifique et à la fois inspirant d’ouvrir des espaces de partages et de discussion autour de ces sujets qui sont tabous dans notre société.

Ma Zone MTL est une émission qui vise à éduquer et informer les téléspectateurs du quotidien des jeunes issus de la diversité au Québec tels que les enjeux de société, les inégalités sociales, le racisme systémique etc. Les jeunes y mettent de l’avant les gens qui ont un impact positif dans les communautés ethnique au Canada.

Académie noire Canada visait à mener une recherche-action sur la mauvaise gestion des plaintes, du harcèlement et de la discrimination au sein des milieux universitaires. L’étudiante a souhaité utiliser ces résultats pour informer la rédaction d’une pétition qu’elle prévoit présenter à l’Assemblée nationale en collaboration avec des associations étudiantes. De plus, elle désire rendre cette information accessible en la diffusant sur une plate-forme web et en créant une capsule vidéo sur le sujet, à l’avenir.

C’est en réaction à un manque flagrant au niveau du sentiment d’appartenance dans la communauté huronne-wendat, que le projet Endi Wendake est né. Les personnes à l’initiatives du projet ont vu une opportunité d’agir et de mettre en place des moyens pour contribuer à la reconnexion de la communauté. Le premier pas pour y arriver était de créer une marque permettant de réunir les différents individus de la communauté. À travers une identité visuelle moderne de la culture, elles ont brodé le chiffre 0-500 sur des vêtements. En les distribuant aux membres de la communauté, elles ont initié des discussions et des échanges autour de la réappropriation de l’identité autochtone, par le biais de ce numéro de bande.

Malgré les progrès des dernières années, de nombreux jeunes ne sont que rarement exposés à des modèles qui les interpellent. Donner une plateforme à des personnes issues de la minorité qui n’ont que rarement l’occasion de s’exprimer permettrait de pallier à cette problématique à laquelle plusieurs sont confrontés. Ainsi, un éventail de possibilités auxquelles une personne racisée peut accéder sera mis de l’avant sans toutefois minimiser les obstacles qui peuvent se présenter à elle. L’idée de ce balado est de créer 3 épisodes mettant en vedette des professionnel.le.s issu.e.s de la diversité et provenant d’un domaine professionnel distinct.