À propos de l’INM
Notre mission
L’INM est une organisation indépendante et non partisane qui a pour ambition d’accroître la participation des citoyennes et des citoyens* à la vie démocratique.
*L’INM définit la participation citoyenne comme l’exercice et l’expression de la citoyenneté sous ses multiples formes (la participation publique, sociale et électorale), pour préciser et protéger les conditions du vivre ensemble.
Notre conviction
L’équipe de l’INM est animée par la conviction que la participation citoyenne renforce
la démocratie.
Nos valeurs
L’équipe de l’INM est animée par des valeurs démocratiques* et agit de manière non partisane avec respect, bienveillance, indépendance et intégrité. La justice et l’inclusion sociales sont des facteurs de motivation et des repères.
*Les valeurs démocratiques entendues sont notamment : l’intérêt public, le soutien de la démocratie, la primauté du droit, le gouvernement responsable, le respect de l’autorité des titulaires de charges publiques que nous élisons.
Notre vision de la démocratie
L’INM croit que la participation citoyenne est l’une des clefs d’une démocratie en santé. Une démocratie participative et vivante est nécessaire pour refléter nos aspirations communes et aider nos gouvernements à trouver les meilleures solutions aux problèmes sociétaux et dans l’intérêt collectif.
Aujourd’hui, la participation citoyenne est un complément essentiel à la démocratie représentative (la délégation du pouvoir de gouverner à des citoyennes et citoyens élus). Une démocratie en santé compte sur :
- Des institutions et des organisations qui s’appuient sur l’intelligence collective pour prendre de meilleures décisions dans une perspective de bien commun;
- Des citoyennes et des citoyens qui contribuent activement à la vie collective et qui ont confiance que les institutions peuvent refléter leurs aspirations communes.

Nos principes
Voici les principes qui nous guident dans notre action et sur la base desquels on mesure notre impact.
L’utilité publique
Obtenir l’assurance préalable que la participation peut réellement influencer la décision publique. Faire des efforts conséquents pour porter la voix citoyenne recueillie à propos des enjeux abordés.
La confiance
Susciter et maintenir la confiance de toutes les parties dans nos processus participatifs, en menant des démarches avec rigueur et indépendance.
Le renforcement du sentiment de compétence
Développer les connaissances, les habiletés à dialoguer et le sentiment de compétence de toutes celles et ceux qui participent ou veulent participer à la vie démocratique, qu’il s’agisse de citoyennes et citoyens, de personnes évoluant dans les organisations et de personnes élues.
L’accessibilité et l’inclusion
Se soucier que chaque citoyenne et citoyen ait la possibilité de participer activement et de s’exprimer dans le respect. Déployer les efforts nécessaires pour rejoindre des publics plus éloignés de la participation.
L’accès à de l’information de qualité : Rendre accessible, comme préalable à la participation, une information juste, claire, rigoureuse et diversifiée.
Nos publics
À l’INM, nous déployons un savoir-faire pour réunir celles et ceux qui souhaitent trouver des solutions aux défis de notre société à travers le dialogue. Plus spécifiquement, on s’adresse :
Aux citoyennes et aux citoyens.
Nous les encourageons à exercer leur citoyenneté et à participer à la vie démocratique pour faire émerger, au-delà des intérêts individuels ou des situations anecdotiques, l’intérêt de la collectivité. Pour l’INM, les citoyennes et les citoyens ont de multiples visages. Le mot « citoyenneté », nous le comprenons de manière inclusive, dans toute sa diversité (âges, origines, genres, compétences, connaissances). Aux personnes à la fois « ordinaires » et « extraordinaires » que nous sommes, parce que nous existons, que nous avons une contribution et une empreinte dans notre quartier, notre communauté, notre ville, notre région, notre pays et notre monde. Sur notre territoire physique et symbolique, l’INM reconnaît la contribution de toutes et de tous.
Aux institutions démocratiques.
Nous les accompagnons pour les soutenir dans leur ambition de refléter nos aspirations communes. On entend par « institutions démocratiques » les ministères et organismes gouvernementaux, les institutions indépendantes (comme l’Assemblée nationale et Élections Québec), ainsi que les sociétés d’État.
Aux organisations publiques et privées.
Nous cherchons à leur insuffler des pratiques participatives et nous les mobilisons pour rejoindre un plus grand nombre de citoyennes et de citoyens. On pense ici aux organismes communautaires, aux ordres professionnels, aux associations syndicales, aux établissements de santé et de services sociaux, d’enseignement et de recherche, ainsi qu’aux entreprises privées, qui sont des milieux d’épanouissement et de socialisation pouvant devenir des lieux considérables pour le développement de la citoyenneté des travailleuses et des travailleurs.
Notre action
L’action de l’INM a pour effet d’encourager la participation citoyenne et de contribuer au développement des compétences civiques, au renforcement du lien social et à la valorisation des institutions démocratiques.
L’INM met de l’avant l’importance et surtout les bénéfices de la participation citoyenne dans toutes les sphères de la société. L’INM expérimente et documente les meilleures pratiques de participation citoyenne, et en fait la promotion dans ses projets et sur la place publique. L’INM, c’est aussi un porte-voix de la parole citoyenne sur une multitude d’enjeux démocratiques et sociétaux. La volonté de se rassembler, de se connecter et de se comprendre transcende toute l’action de l’INM. Nous voyons les individus et les organisations, comme autant de réverbères qui peuvent éclairer le débat public et remettre en question le statu quo. L’INM est là pour accompagner celles et ceux qui cherchent une manière inclusive et constructive de contribuer au bien commun.
L’action de l’INM se décline en trois axes :
Notre promesse
Chaque participation est accueillie avec ouverture et est mise au service de l’intérêt collectif.
L’INM met en place des espaces de discussions encadrés par une charte de la participation et des règles de l’art. L’INM prend le soin de rendre disponible la parole récoltée, notamment par des rapports, des avis ou des extraits vidéos, pour que les idées fassent leur chemin dans l’espace public et auprès des décideuses et décideurs.
Notre histoire
Fondé en 2004 par un groupe de 25 personnes, l’INM est né du besoin de se doter d’espaces non partisans pour débattre des enjeux qui animent notre société.
Les premières actions de l’INM ont été l’École d’été, une école de citoyenneté pour les jeunes, ainsi que la publication de L’état du Québec (auparavant, L’annuaire du Québec), créant ainsi des espaces pour renouveler les idées et faire naître des initiatives citoyennes pour renforcer la démocratie.
Dès ses débuts, l’INM organise des rendez-vous stratégiques sur l’ensemble du territoire du Québec à propos d’enjeux sociaux comme la santé, la culture, l’éducation, l’économie, les inégalités sociales. Ce dernier mènera à la création de l’Observatoire québécois des inégalités.
L’INM développe aussi un programme de soutien à l’entrepreneuriat social, qui deviendra plus tard l’Esplanade. Enfin, l’INM contribue à la vie démocratique et à l’amélioration des institutions par ses mémoires et autres contributions aux travaux des commissions parlementaires et des différents ministères, organismes et municipalités.
Aujourd’hui, l’INM est reconnue comme une référence en matière de participation citoyenne, ainsi qu’en matière d’éducation à la citoyenneté auprès de divers publics, dont les jeunes de 15 à 35 ans. De plus, l’INM est vue comme une alliée des institutions démocratiques et des organisations qui désirent faire participer la population de manière constructive sur des projets, plans, programmes et politiques.
L’Institut est placé sous la gouverne d’un conseil d’administration pluraliste composé d’au plus 15 personnes provenant de la société civile. Le conseil administre toutes les affaires de la corporation, adopte son programme d’activités, les prévisions budgétaires et les états financiers. Il désigne la direction générale de l’Institut. La personne désignée est membre d’office du conseil et agit comme secrétaire de la corporation. Les membres du conseil d’administration sont élus par l’assemblée générale de l’INM pour un mandat de deux ans, renouvelable. Le mandat de la moitié des membres du conseil est renouvelé chaque année.
Les membres du Conseil d’administration de l’Institut du Nouveau Monde (INM) :
Me Michel Cossette, président
Me Cossette a plaidé devant les tribunaux civils du Québec et devant plusieurs tribunaux administratifs, autant en première instance qu’en révision judiciaire ou en appel. Il a aussi siégé au conseil d’administration de trois (3) établissements publics pour une période de plus de vingt (20) ans. Michel Cossette fait partie des fondateurs de l’Institut du Nouveau Monde (INM) et il en préside le conseil d’administration depuis 2007.
Mme Malorie Flon, directrice générale, Institut du Nouveau Monde
Malorie Flon est spécialiste en participation publique et en animation de dialogue entre parties prenantes. À l’INM, elle a agi sur une centaine de mandats dans l’ensemble des secteurs d’activité de l’organisation, incluant des projets d’envergure en éducation, en santé, dans les institutions démocratiques et dans les affaires municipales.
Elle a contribué à recueillir et à rendre accessible l’expérience et la connaissance de l’INM en matière de participation publique, notamment avec ses Règles de l’art et l’Échelle de la participation publique. Malorie est reconnue pour ses talents d’animatrice ainsi que pour ses choix méthodologiques judicieux pour construire des démarches pertinentes au regard des besoins de la société québécoise.
Geneviève Baril
M. Pierre Baril
Mme Diane Bérard
Mme Karine Blondin
Karine Blondin est directrice de la Formation aux adultes, aux entreprises et aux organisations au Collège de Maisonneuve. Auparavant gestionnaire de projets au CEFRIO, chez Montréal International ainsi qu’à la Conférence régionale des élus de Montréal, elle se distingue par sa capacité à développer et gérer des projets d’innovation complexes regroupant plusieurs partenaires. Ses sujets de prédilection sont notamment le développement des compétences et la transformation numérique des entreprises et des organisations.
Citoyenne engagée, Karine a participé à plusieurs conseil d’administration, notamment dans le milieu de l’éducation ainsi que la représentation des jeunes travailleurs. Étant parmi les membres fondateurs de l’INM, elle a participé au CA de l’Institut pendant près de 10 ans.
Karine est titulaire d’une maîtrise en économie ainsi que d’un baccalauréat en travail social.
Marie-Andrée Farmer
Marie-Andrée Farmer travaille depuis près de 15 ans dans le milieu de la philanthropie en tant que responsable de programmes de financement en appui à la communauté. Elle s’intéresse particulièrement aux enjeux sociaux et aux collaborations nécessaires pour offrir un soutien approprié. Elle est à l’écoute de la communauté et apprécie les interactions avec les acteurs terrain essentiels à la compréhension des enjeux. Marie-Andrée travaille présentement à la Fondation du Grand Montréal comme directrice des initiatives stratégiques et des partenariats communautaires. Dans son rôle, elle s’efforce de comprendre l’écosystème social et communautaire du Grand Montréal et contribue à des initiatives en appui aux populations les plus marginalisées. Elle est diplômée de l’UQÀM en administration des affaires et tourisme ainsi qu’en responsabilité sociale des organisations.
M. Olivier Girardeau
Karl-Ervin Jean-Pierre
Titulaire d’une formation universitaire en diplomatie et relations internationales, Karl-Ervin Jean-Pierre poursuit actuellement un baccalauréat en communication et politique à l’université de Montréal. Alliant études et activités professionnelles à Port-au-Prince, Washington, Paris et Londres. Il a successivement eu de formidables expériences au sein de grandes entreprises privées et institutions publiques comme le Parlement fédéral du Canada, Humakare, Desjardins et Bell Canada entre autres.
Étant passionné par des enjeux touchant la jeunesse, la démocratie et la gouvernance publique. Jean-Pierre a siégé à de nombreux conseils d’administration d’entités reconnues comme JLAC, TNJH, ADIS ou encore HULT PRIZE. Ainsi qu’à des tables de concertation intersectorielle à titre de jeune ambassadeur de la francophonie des Amériques, ou jeune ministre de la Communication du gouvernement jeunesse d’Haïti par exemple.
Au fil des ans, Mr. Jean-Pierre a reçu de nombreuses distinctions, dont le prix de reconnaissance de la Chambre des députés de l’État de New-York (2016) pour son implication auprès de plusieurs organismes de la société civile et le prix de « jeune leader inspirant » de la Tribune nationale de la jeunesse (2017). Karl-Ervin prononce régulièrement des conférences sur des sujets de société et tisse des liens durables avec d’autres acteurs à travers le monde autour d’initiatives citoyennes d’envergures.
M. Frédéric Letendre
Frédéric Letendre est avocat, fondateur de YULEX et agent de marques. Il possède plus de 25 ans d’expérience en droit des affaires, de la propriété intellectuelle et de la technologie auprès d’une clientèle composée principalement d’entreprises innovantes et technologiques, tant au Canada et qu’à l’étranger. Il a d’ailleurs commencé sa carrière en Europe (Bruxelles, Paris et Varsovie).
En tant qu’avocat en propriété intellectuelle et informatique, il est impliqué dans les entreprises numériques locales et internationales à toutes les étapes, du stade de start-up aux entreprises bien établies. Il a développé une expertise dans les alliances stratégiques, les licences, la création et l’exploitation de sociétés actives dans divers secteurs tels que le commerce électronique, la communication, la MedTech, l’EdTech ou encore le domaine manufacturier.
Frédéric siège ou a siégé à divers conseils d’administration d’organismes liés au développement économique ou technologique, dont l’École des entrepreneurs du Québec, Productique Québec, Continuum et CIAMIL.
M. Adil Mansouri
Adil travaille actuellement chez Talsom à titre de directeur et responsable du studio de Design. Il accompagne les entreprises dans leurs projets de transformation d’affaires et organisationnelles. En parallèle, Adil travaille sur des projets d’innovation sociale avec des organismes à Montréal et à l’étranger avec Talsom ou à travers Humanos une OBNL qui utilise le design thinking pour résoudre des problématiques sociales. Il siège aussi sur le CA du Collectif La DAL, une épicerie autogérée à Saint Henri.
Adil détient une maîtrise en Ingénierie Financière de HEC Montréal et a travaillé en tant que Senior Manager en FRM chez PWC au Canada et en Malaisie entre 2012 et 2017.
Mme Marianne Forcier-Gerovaggelis, CPA
Depuis 2014, elle travaille en certification chez Raymond Chabot Grant Thornton. Œuvrant dans une équipe attitrée aux petites et moyennes entreprises, elle détient de l’expérience dans plusieurs secteurs d’intervention, soient les organismes sans but lucratif, les établissements du réseau de la santé et des services sociaux, les universités, les fonds communs de placement, ainsi que les régimes de retraite. Marianne détient également de l’expérience en recrutement et gestion de personnel ainsi en ce qui concerne l’établissement de meilleures pratiques et procédures pour des projets spécifiques.
Mme Sandra Saint-Fleur
Sandra Saint-Fleur est une professionnelle qui a œuvré en Ressources Humaines depuis plus de 15 ans. Passionnée par les gens, elle a travaillé dans le secteur manufacturier, les télécommunications, le communautaire, l’aviation, la santé et le domaine financier.
Toujours prête à relever de nouveaux défis, Sandra a contribué au succès d’initiatives menant à l’engagement des employés, le soutien RH d’une unité d’affaires au Mexique, l’accompagnement de gestionnaires dans des projets de transformation en plus d’être le soutien stratégique dans le développement de programmes de Leadership pour cadres.
Sandra poursuit actuellement le 2ème niveau de sa formation en coaching.
Diplômée en administration des affaires (2003), elle détient un certificat de second cycle en Leadership (2005) et une Maîtrise en Intervention de Systèmes Humains (2012)
Mme Andréanne St-Gelais
Jean Savard
Jean Savard œuvre dans le secteur municipal depuis une trentaine d’années. Il a été le principal concepteur du modèle d’acceptabilité sociale de la Ville de Montréal qu’il a présenté dans plusieurs colloques internationaux de même que dans un ouvrage collectif(PUQ). Dès la fin des années 2000, il a multiplié les initiatives pour favoriser l’intégration des dispositifs de participation publique dans les pratiques de gestion de projet de la Ville. Au cours des dernières années, il s’est consacré à l’harmonisation et à la professionnalisation des pratiques de participation publique de l’administration montréalaise de même qu’aux enjeux de gouvernance des projets d’aménagement urbain. Il a enseigné la participation publique et la gestion des risques sociopolitiques à la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal pendant une douzaine d’années. Jean Savard est diplômé en journalisme (UQAM) et en gestion (HEC).
M. Fimba Tankoano
Détenteur d’un MBA en conseil en management, et de diplômes en Gestion des entreprises sociales et collectives et en Psychologie sociale, Fimba a œuvré ces quinze dernières années en développement social et communautaire au Québec et à l’étranger.
Originaire du Burkina Faso, il a d’abord mis ses compétences et son dynamisme au service de ses concitoyens. Il a contribué au lancement du Réseau africain jeunesse santé et développement du Burkina Faso; appuyé le Service allemand de développement dans l’accompagnement d’un consortium d’ONG pour l’intégration de l’approche basée sur les droits (RBA) dans leurs programmes; et soutenu la création de la « Coalition Fimba pour le genre » regroupant 13 ONG travaillant dans la promotion de l’approche genre et développement.
Fimba Tankoano a poursuivi son engagement au Québec dès 2008 en s’impliquant au sein d’organismes communautaires à Montréal. Il a entre autres été directeur général de la Fédération des centres d’action bénévole du Québec. Il est membre de l’Ordre des administrateurs agréés du Québec et est actuellement directeur général de Concertation Horizon.
L’Institut du Nouveau Monde (INM) est une société à but non lucratif, incorporée en vertu de la 3e partie de la Loi sur les compagnies depuis le 20 janvier 2003.
L’Institut s’est doté d’une structure légère, économiquement efficace, capable de mettre en oeuvre des projets ambitieux dans de courts délais. L’INM s’appuie également sur un fort réseau d’experts dans toutes les disciplines et sur des partenaires privés.
Les membres de l’INM forment l’assemblée générale. Celle-ci se réunit au moins une fois par année, reçoit et examine le rapport d’activités et les états financiers de l’Institut, et élit les administrateurs de la corporation.
Rapport d’activités 2021-2022
Consultez notre rapport d’activités 2021-2022 en ligne ou téléchargez la version PDF.
Rapports d’activités passés :
- Lauréat du Prix Claire-Bonenfant du gouvernement du Québec (2005)
- Le gouvernement du Québec confirme la reconnaissance de l’École d’été dans la Stratégie d’action jeunesse, qui assure un financement pendant cinq ans, financement qui sera reconduit par la suite (2009)
- CIVICUS, alliance mondiale d’organisations de la société civile et d’activistes qui s’engagent à renforcer l’action citoyenne et la société civile, choisit l’INM pour l’organisation annuelle de ses Assemblées mondiales (2010, 2011, 2012)
- Désignation de l’École d’été comme l’une des trois meilleures pratiques d’éducation civique au Canada par l’Institut pour la citoyenneté canadienne (2010)
- Prix Palmarès de la Soirée Élixir de PMI-Montréal pour la gestion de projet de la démarche sur l’éducation à la petite enfance (2017)
- L’INM est invité comme membre du Groupe de travail du MAHM sur l’urbanisme participatif (2017)
- Sélection de la Ville de Montréal pour la curation Mon été culturel avec le projet balado Nous autres (2020)
- La directrice générale de l’INM est choisie pour siéger à la Commission canadienne de l’expression démocratique (2020)
- Finaliste au Concours Élixir 2021 de PMI-Montréal pour les forums de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse (2021)
L’INM ne tolère ni n’admet aucune forme de harcèlement envers quiconque :
- entre les membres du personnel (ci-après : le « personnel ») , quel que soit leur niveau hiérarchique
au sein de l’organisation, incluant les contractuels et les stagiaires, que leur stage soit rémunéré ou pas; - de la part de toute personne qui lui est associée : membres du conseil d’administration, collaborateurs·trices,
clients·es, partenaires, participants·es, fournisseurs, bénévoles, ou autres (ci-après : « personne associée »).
Dans le cadre de la présente politique, le terme « harcèlement » est utilisé pour couvrir tout type de harcèlement,
incluant le harcèlement sexuel et psychologique.
Tout personnel qui a un comportement harcelant peut faire l’objet de mesures adéquates pour mettre fin au
harcèlement, et de mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’au congédiement.
Toute personne associée à l’INM qui a un comportement harcelant peut faire l’objet de mesures adéquates
pour mettre fin au harcèlement, interrompre ou bannir la relation.
Les mesures applicables à une personne membre du conseil d’administration de l’INM ayant un comportement
harcelant relèvent cependant du conseil d’administration lui-même et ne sont pas prévues à la présente politique.
Le signalement d’un comportement harcelant de la part d’un membre du conseil d’administration envers le personnel
se fait à la personne qui occupe le poste de directeur ou de directrice générale (ci-après : « direction générale »).
Par la présente politique, l’INM s’engage à prendre les moyens raisonnables pour :
- offrir au personnel un milieu de travail exempt de toute forme de harcèlement afin de protéger leur dignité
ainsi que leur intégrité psychologique et physique, de même qu’aux personnes associées à l’INM; - diffuser la présente politique de manière à la rendre accessible au personnel et aux personnes associées,
notamment par les moyens décrits à la section Prévention; - diffuser la politique pour que les personnes associées à l’INM puissent en être informée et la consulter.
La présente politique remplace la version précédente adoptée en 2017 et mise à jour en 2018.
Cette politique est mise à jour périodiquement et minimalement aux 3 ans.