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À propos2023-05-29T11:48:17-04:00

À propos de l’INM

Notre mission

L’INM est une organisation indépendante et non partisane qui a pour ambition d’accroître la participation des citoyennes et des citoyens* à la vie démocratique.

*L’INM définit la participation citoyenne comme l’exercice et l’expression de la citoyenneté sous ses multiples formes (la participation publique, sociale et électorale), pour préciser et protéger les conditions du vivre ensemble.

Notre conviction

L’équipe de l’INM est animée par la conviction que la participation citoyenne renforce
la démocratie.

Nos valeurs

L’équipe de l’INM est animée par des valeurs démocratiques* et agit de manière non partisane avec respect, bienveillance, indépendance et intégrité. La justice et l’inclusion sociales sont des facteurs de motivation et des repères.

*Les valeurs démocratiques entendues sont notamment : l’intérêt public, le soutien de la démocratie, la primauté du droit, le gouvernement responsable, le respect de l’autorité des titulaires de charges publiques que nous élisons.

Rapport d’activités 2021-2022

(le rapport d’activités 2022-2023 sera présenté à l’assemblée générale annuelle de septembre prochain)

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Notre vision de la démocratie

L’INM croit que la participation citoyenne est l’une des clefs d’une démocratie en santé. Une démocratie participative et vivante est nécessaire pour refléter nos aspirations communes et aider nos gouvernements à trouver les meilleures solutions aux problèmes sociétaux et dans l’intérêt collectif. 

Aujourd’hui, la participation citoyenne est un complément essentiel à la démocratie représentative (la délégation du pouvoir de gouverner à des citoyennes et citoyens élus). Une démocratie en santé compte sur :

  • Des institutions et des organisations qui s’appuient sur l’intelligence collective pour prendre de meilleures décisions dans une perspective de bien commun;
  • Des citoyennes et des citoyens qui contribuent activement à la vie collective et qui ont confiance que les institutions peuvent refléter leurs aspirations communes.

Nos principes

Voici les principes qui nous guident dans notre action et  sur la base desquels on mesure notre impact.

L’utilité publique

Obtenir l’assurance préalable que la participation peut réellement influencer la décision publique. Faire des efforts conséquents pour porter la voix citoyenne recueillie à propos des enjeux abordés. 

La confiance

Susciter et maintenir la confiance de toutes les parties dans nos processus participatifs, en menant des démarches avec rigueur et indépendance. 

Le renforcement du sentiment de compétence

Développer les connaissances, les habiletés à dialoguer et le sentiment de compétence de toutes celles et ceux qui participent ou veulent participer à la vie démocratique, qu’il s’agisse de citoyennes et citoyens, de personnes évoluant dans les organisations et de personnes élues. 

L’accessibilité et l’inclusion

Se soucier que chaque citoyenne et citoyen ait la possibilité de participer activement et de s’exprimer dans le respect. Déployer les efforts nécessaires pour rejoindre des publics plus éloignés de la participation.

L’accès à de l’information de qualité : Rendre accessible, comme préalable à la participation, une information juste, claire, rigoureuse et diversifiée.

Nos publics

À l’INM, nous déployons un savoir-faire pour réunir celles et ceux qui souhaitent trouver des solutions aux défis de notre société à travers le dialogue. Plus spécifiquement, on s’adresse : 

Aux citoyennes et aux citoyens.

Nous les encourageons à exercer leur citoyenneté et à participer à la vie démocratique pour faire émerger, au-delà des intérêts individuels ou des situations anecdotiques, l’intérêt de la collectivité. Pour l’INM, les citoyennes et les citoyens ont de multiples visages. Le mot « citoyenneté », nous le comprenons de manière inclusive, dans toute sa diversité (âges, origines, genres, compétences, connaissances). Aux personnes à la fois « ordinaires » et « extraordinaires » que nous sommes, parce que nous existons, que nous avons une contribution et une empreinte dans notre quartier, notre communauté, notre ville, notre  région, notre pays et notre monde. Sur notre territoire physique et symbolique, l’INM reconnaît la contribution de toutes et de tous.

Aux institutions démocratiques.

Nous les accompagnons pour les soutenir dans leur ambition de refléter nos aspirations communes. On entend par « institutions démocratiques » les ministères et organismes gouvernementaux, les institutions indépendantes (comme l’Assemblée nationale et Élections Québec), ainsi que les sociétés d’État. 

Aux organisations publiques et privées.

Nous cherchons à leur insuffler des pratiques participatives et nous les mobilisons pour rejoindre un plus grand nombre de citoyennes et de citoyens. On pense ici aux organismes communautaires, aux ordres professionnels, aux associations syndicales, aux établissements de santé et de services sociaux, d’enseignement et de recherche, ainsi qu’aux entreprises privées, qui sont des milieux d’épanouissement et de socialisation pouvant devenir des lieux considérables pour le développement de la citoyenneté des travailleuses et des travailleurs.

Notre action

L’action de l’INM a pour effet d’encourager la participation citoyenne et de contribuer au développement des compétences civiques, au renforcement du lien social et à la valorisation des institutions démocratiques. 

L’INM met de l’avant l’importance et surtout les bénéfices de la participation citoyenne dans toutes les sphères de la société. L’INM expérimente et documente les meilleures pratiques de participation citoyenne, et en fait la promotion dans ses projets et sur la place publique. L’INM, c’est aussi un porte-voix de la parole citoyenne sur une multitude d’enjeux démocratiques et sociétaux. La volonté de se rassembler, de se connecter et de se comprendre transcende toute l’action de l’INM. Nous voyons les individus et les organisations, comme autant de réverbères qui peuvent éclairer le débat public et remettre en question le statu quo. L’INM est là pour accompagner celles et ceux qui cherchent une manière inclusive et constructive de contribuer au bien commun.

L’action de l’INM se décline en trois axes :

L’INM contribue au développement des compétences civiques requises à l’exercice d’une citoyenneté active, et cherche à susciter une « attitude citoyenne » dans la société. Pour ce faire, notre organisation s’est dotée d’une expertise transférable et procède à une veille des meilleures pratiques en éducation à la citoyenneté et en participation citoyenne.

Pour les élèves du secondaire, l’INM déploie le Programme d’éducation CiviQc dans les écoles. Ses activités visent à leur permettre d’entrer en contact avec l’écosystème politique et la vie démocratique. L’INM organise également des Écoles de participation citoyenne – l’École d’été, l’École d’hiver, l’École itinérante et l’École d’influence – pour les jeunes âgés de 15 à 35 ans, en plus de grandes démarches jeunesse s’échelonnant sur plusieurs mois sur des thématiques diverses comme le féminisme, l’environnement et le vivre ensemble.

S’appuyant sur ses huit règles de l’art de la participation publique, l’INM anime de manière indépendante des consultations sur les enjeux essentiels pour la société, à l’échelle locale comme nationale. Nous accompagnons les gouvernements et les organisations qui désirent faire participer les citoyennes et les citoyens à une prise de décision d’intérêt public, en offrant des services de planification et d’animation de démarches participatives. La participation publique permet d’améliorer les politiques et les services publics, de créer les conditions d’émergence d’innovations sociales, de développer la capacité des individus à comprendre les enjeux, de renforcer la cohésion sociale et le sens des responsabilités civiques.

L’INM contribue à la diffusion de la connaissance et à l’élaboration de réponses aux grands défis de notre temps en agissant comme laboratoire d’idées. La publication de l’ouvrage de référence L’état du Québec, qui réunit annuellement les textes d’une cinquantaine de spécialistes, de même que le balado Le Réverbère permettent une veille sur l’évolution de la société et des enjeux à débattre. L’INM produit et fait rayonner des contenus vulgarisés et accessibles afin d’offrir aux citoyens les outils nécessaires à une participation active et éclairée aux débats publics. L’INM est également un lieu d’innovation et d’expérimentation au service de la démocratie participative (ex.Constituons! et Rêver pour créer). L’INM organise de grandes démarches lors desquelles il invite les citoyennes et les citoyens du Québec à réfléchir aux défis qui touchent notre société. Nous recueillons et diffusons la parole citoyenne pour informer les décideuses et décideurs dans leur exercice du pouvoir et pour influencer nos politiques publiques. 

Notre promesse

Chaque participation est accueillie avec ouverture et est mise au service de l’intérêt collectif.

L’INM met en place des espaces de discussions encadrés par une charte de la participation et des règles de l’art. L’INM prend le soin de rendre disponible la parole récoltée, notamment par des rapports, des avis ou des extraits vidéos, pour que les idées fassent leur chemin dans l’espace public et auprès des décideuses et décideurs.

Notre histoire

Fondé en 2004 par un groupe de 25 personnes, l’INM est né du besoin de se doter d’espaces non partisans pour débattre des enjeux qui animent notre société. 

Les premières actions de l’INM ont été l’École d’été, une école de citoyenneté pour les jeunes, ainsi que la publication de L’état du Québec (auparavant, L’annuaire du Québec), créant ainsi des espaces pour renouveler les idées et faire naître des initiatives citoyennes pour renforcer la démocratie. 

Dès ses débuts, l’INM organise des rendez-vous stratégiques sur l’ensemble du territoire du Québec à propos d’enjeux sociaux comme la santé, la culture, l’éducation, l’économie, les inégalités sociales. Ce dernier mènera à la création de l’Observatoire québécois des inégalités.

L’INM développe aussi un programme de soutien à l’entrepreneuriat social, qui deviendra plus tard l’Esplanade. Enfin, l’INM contribue à la vie démocratique et à l’amélioration des institutions par ses mémoires et autres contributions aux travaux des commissions parlementaires et des différents ministères, organismes et municipalités.

Aujourd’hui, l’INM est reconnue comme une référence en matière de participation citoyenne, ainsi qu’en matière d’éducation à la citoyenneté auprès de divers publics, dont les jeunes de 15 à 35 ans. De plus, l’INM est vue comme une alliée des institutions démocratiques et des organisations qui désirent faire participer la population de manière constructive sur des projets, plans, programmes et politiques.

Soyons les artisans de notre avenir :
Pour un renouvellement du débat démocratique au Québec

Déclaration des fondateurs de l’Institut du Nouveau Monde – 2004

Le temps d’évaluer, de rafraîchir, de réviser les modèles de développement et de gouverne du Québec est arrivé. Le Québec a besoin d’idées neuves et de solutions audacieuses aux problèmes qui subsistent et à ceux qui apparaissent dans un monde qui change.

Le moment est aussi venu de se redonner des objectifs collectifs et de renouer avec l’enthousiasme, la formidable énergie qui accompagne la naissance de grands projets. Dans quelle société voulons-nous vivre dans vingt ans et que devons-nous faire d’ici là pour y arriver?

Le monde et le Québec changent. Des certitudes anciennes se sont écroulées. Des mutations profondes suscitent de vives inquiétudes en même temps que de grands espoirs. Elles montrent aussi qu’un autre monde est possible.

Or, nous voulons être des artisans de ce monde en devenir et non pas seulement les témoins et encore moins les victimes de son évolution.

Les urgences s’accumulent. Nos concitoyens expriment sans équivoque un désir de renouvellement des idées, des façons de faire et de penser, mais aussi de nos solidarités.

Que ce soit au nom des jeunes, autant ceux qui ont perdu leurs illusions et sont tentés de décrocher, que ceux qui cultivent de grandes ambitions pour eux-mêmes et pour leurs proches, mais qui se heurtent à des obstacles, à la précarité du monde du travail, aux insuffisances de nos institutions ou aux incertitudes soulevées par la mondialisation.

Que ce soit à l’égard d’un territoire, de ressources ou d’un environnement à protéger.

Que ce soit au nom des habitants des régions dont la décroissance démographique se poursuit à un rythme accéléré dans un contexte de vieillissement de la population. Ou, encore, au nom des Montréalais, dont la ville est désormais placée en concurrence avec les autres métropoles nord-américaines tout en demeurant le milieu de vie de la moitié des Québécois.

Que ce soit au nom de cette nation francophone, qui se veut pluraliste et inclusive, profondément enracinée dans les Amériques, mais ouverte à toutes les influences.

Que ce soit au nom de la justice sociale et des valeurs démocratiques.

Nous savons que le Québec est capable de faire face aux impératifs du renouvellement. C’est une société parmi les plus scolarisées du monde, habituée au dialogue et à la concertation, ayant démontré au cours des quarante dernières années une formidable capacité d’innovation, un esprit de conquête et une créativité aujourd’hui mondialement reconnue.

Mais la volonté d’agir semble maintenant entravée. Les liens sociaux s’affaiblissent. Des problèmes anciens paraissent insolubles tandis que la population éprouve souvent le sentiment de n’avoir pas ou peu d’influence sur les choix qui façonnent l’avenir.

Or, nous refusons le fatalisme et voulons contrer le sentiment d’impuissance qui pourrait s’installer. Nous proposons de raviver le dialogue, les échanges et les débats sur tout le territoire du Québec et ainsi de relancer l’imaginaire québécois.

Nous affirmons que la société civile peut devenir le principal catalyseur des espoirs et des idées pour un Québec nouveau, pour un « nouveau monde ». C’est à elle qu’il revient de prendre le leadership et de se réapproprier les lieux de réflexion et les leviers d’action.

Nous croyons que seuls les citoyens peuvent déterminer, par leur participation aux débats publics et au sein des institutions démocratiques, le changement qui correspond à leurs besoins et à leurs aspirations.

Cette participation doit se réaliser dans les conditions favorables. Nous voulons contribuer à créer ces conditions.

Nous procédons cette semaine, le 22 avril, à Montréal, au lancement de l’Institut du Nouveau Monde, un institut indépendant, non partisan, à but non lucratif, voué au renouvellement des idées et à l’animation des débats publics au Québec.

L’INM veut, d’une part, réunir une information fiable sur le Québec, et rendre cette information disponible dans un langage clair et accessible pour le grand public, notamment en organisant une université d’été pour les jeunes et par la publication de L’Annuaire du Québec. Il veut mettre au point des indicateurs permettant de mesurer le développement économique, social et culturel du Québec en comparaison avec le reste du monde. Il veut mettre à profit les nouvelles technologies de l’information pour favoriser la délibération publique et rejoindre les citoyens et citoyennes de toutes les régions du Québec.

Il veut, d’autre part, stimuler la prise de parole par les citoyens et les citoyennes en dehors des circuits partisans, militants ou académiques en suscitant leur participation à des débats ouverts, des échanges, des dialogues, conférences et rendez-vous stratégiques sur les grands enjeux de notre temps. Il entend capter cette parole, la mettre en forme et lui assurer une diffusion et une reconnaissance dans l’espace public.

Nous voulons contribuer à remettre le Québec en marche, retrouver l’esprit des fondateurs et susciter l’émergence d’idées neuves, de solutions et de projets concrets, répondant aux aspirations d’une société juste, démocratique et pluraliste.

Ont signé :
  • Dominique Anglade
  • Claude Béland
  • Geneviève Baril
  • Karine Blondin
  • Gérard Bouchard
  • Michel Cossette
  • Sophie Dufour
  • Yves Dupré
  • Patrick Ferland
  • Jacques Fortin
  • Alain G. Gagnon
  • Christian Giguère
  • Martine Hébert
  • Fédéric Leesemann
  • Luc Martin
  • Henry Milner
  • Alain Noël
  • John Parisella
  • Susan Rona
  • Conrad Sauvé
  • Roger Simard
  • Guillaume Vaillancourt
  • Michel Venne
  • Gaétan Venne
  • Akos Verboczy

L’Institut est placé sous la gouverne d’un conseil d’administration pluraliste composé d’au plus 15 personnes provenant de la société civile. Le conseil administre toutes les affaires de la corporation, adopte son programme d’activités, les prévisions budgétaires et les états financiers. Il désigne la direction générale de l’Institut. La personne désignée est membre d’office du conseil et agit comme secrétaire de la corporation. Les membres du conseil d’administration sont élus par l’assemblée générale de l’INM pour un mandat de deux ans, renouvelable. Le mandat de la moitié des membres du conseil est renouvelé chaque année.

Les membres du Conseil d’administration de l’Institut du Nouveau Monde (INM) :

Me Michel Cossette, président
 Membre du Barreau du Québec depuis 1982, il a toujours pratiqué en cabinet privé. En janvier 2012, il s’associe à Me Dolan qui pratique avec lui depuis 1998 pour fonder Cossette Dolan Avocats. Michel Cossette combine une pratique de litige civil et commercial avec une pratique de conseil à des organismes à but non lucratif et des fondations privées, des petites entreprises et des établissements de santé publics surtout des établissements de santé œuvrant auprès des personnes présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme. Il a ainsi conseillé plusieurs fondations et organismes œuvrant dans les domaines de la santé, du logement, de l’employabilité, de l’aide en cas de sinistre et des services aux citoyens. Ses conseils concernent autant l’organisation corporative et la gouvernance, que l’organisation des services, la gestion du personnel, des affaires et des relations avec les autorités gouvernementales et municipales. Il effectue le même travail auprès de plusieurs petites entreprises et de particuliers, que ce soit pour des questions de droit civil ou de droit commercial.

Me Cossette a plaidé devant les tribunaux civils du Québec et devant plusieurs tribunaux administratifs, autant en première instance qu’en révision judiciaire ou en appel. Il a aussi siégé au conseil d’administration de trois (3) établissements publics pour une période de plus de vingt (20) ans. Michel Cossette fait partie des fondateurs de l’Institut du Nouveau Monde (INM) et il en préside le conseil d’administration depuis 2007.


Mme Malorie Flon, directrice générale, Institut du Nouveau Monde

Malorie Flon est spécialiste en participation publique et en animation de dialogue entre parties prenantes. À l’INM, elle a agi sur une centaine de mandats dans l’ensemble des secteurs d’activité de l’organisation, incluant des projets d’envergure en éducation, en santé, dans les institutions démocratiques et dans les affaires municipales.

Elle a contribué à recueillir et à rendre accessible l’expérience et la connaissance de l’INM en matière de participation publique, notamment avec ses Règles de l’art et l’Échelle de la participation publique. Malorie est reconnue pour ses talents d’animatrice ainsi que pour ses choix méthodologiques judicieux pour construire des démarches pertinentes au regard des besoins de la société québécoise.


Geneviève Baril

M. Pierre Baril
Pierre Baril est ingénieur et agronome diplômé de l’Université Laval. Il possède une maîtrise et un doctorat en génie de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, Suisse. Il a passé plus des vingt dernières années au service de l’état québécois successivement comme vice-président du Centre de recherche industrielle du Québec, sous-ministre adjoint aux politiques du ministère de l’environnement, directeur général d’Ouranos, président du Bureau d’audience public sur l’environnement (BAPE) et, dernièrement, il a dirigé une équipe dédiée à la modernisation de la réglementation environnementale. Il a auparavant œuvré dans le domaine du génie-conseil. Il a été sur le conseil d’administration de nombreuses associations non-gouvernementales, notamment, Nature-Québec, Réseau-Environnement, le Réseau internationale des organismes de bassin, l’Office internationale de l’eau et le Marine environnemental observation, prediction, and response network (MEOPAR), dont il est toujours membre.


Mme Diane Bérard
Diane Bérard est journaliste de solutions indépendante. Cette pratique consiste à présenter, avec un regard critique, des solutions aux enjeux sociaux et environnementaux du 21e siècle. Diplômée en science politique (baccalauréat) et en économie (maîtrise), elle contribue, entre autres, au contenu de la série « L’Avenir nous appartient », sur les ondes de Télé-Québec. Chaque mercredi, elle participe à la chronique « CA », à « Zone économie », l’émission d’information quotidienne animée par Gérald Fillion sur les ondes de RDI. Ses reportages apparaissent, entre autres, dans les magazines Nouveau Projet et The Philantropist. Elle est présidente du comité stratégie du CA de l’Institut du Nouveau Monde. Et coauteure de cinq livres, dont le plus récent, « Le réflexe du castor » écrit avec Rémi Tremblay, a été publié à l’automne 2022.


Mme Karine Blondin

Karine Blondin est directrice de la Formation aux adultes, aux entreprises et aux organisations au Collège de Maisonneuve. Auparavant gestionnaire de projets au CEFRIO, chez Montréal International ainsi qu’à la Conférence régionale des élus de Montréal, elle se distingue par sa capacité à développer et gérer des projets d’innovation complexes regroupant plusieurs partenaires. Ses sujets de prédilection sont notamment le développement des compétences et la transformation numérique des entreprises et des organisations.

Citoyenne engagée, Karine a participé à plusieurs conseil d’administration, notamment dans le milieu de l’éducation ainsi que la représentation des jeunes travailleurs. Étant parmi les membres fondateurs de l’INM, elle a participé au CA de l’Institut pendant près de 10 ans.

Karine est titulaire d’une maîtrise en économie ainsi que d’un baccalauréat en travail social.


Marie-Andrée Farmer

Marie-Andrée Farmer travaille depuis près de 15 ans dans le milieu de la philanthropie en tant que responsable de programmes de financement en appui à la communauté. Elle s’intéresse particulièrement aux enjeux sociaux et aux collaborations nécessaires pour offrir un soutien approprié. Elle est à l’écoute de la communauté et apprécie les interactions avec les acteurs terrain essentiels à la compréhension des enjeux. Marie-Andrée travaille présentement à la Fondation du Grand Montréal comme directrice des initiatives stratégiques et des partenariats communautaires. Dans son rôle, elle s’efforce de comprendre l’écosystème social et communautaire du Grand Montréal et contribue à des initiatives en appui aux populations les plus marginalisées. Elle est diplômée de l’UQÀM en administration des affaires et tourisme ainsi qu’en responsabilité sociale des organisations.


M. Olivier Girardeau
Après un baccalauréat en droit et son admission au Barreau du Québec, Olivier entame un parcours professionnel qui le mène à l’Autorité des marchés financiers où il évolue depuis 2017. Il a eu l’occasion d’œuvrer dans les secteurs privé, associatif et public en plus de siéger à divers conseils d’administration et de s’investir dans son milieu. Il est reconnu pour sa capacité à naviguer dans des environnements qui évoluent rapidement, sa volonté de remettre en question le statu quo et sa curiosité de regarder au-delà des faits apparents. Olivier s’implique au sein de l’INM car il est convaincu que les solutions aux enjeux de société s’inventent de « bas en haut » et non de « haut en bas » et que les solutions imaginées et élaborées au quotidien par les citoyens doivent être au cœur du débat public.


Karl-Ervin Jean-Pierre

Titulaire d’une formation universitaire en diplomatie et relations internationales, Karl-Ervin Jean-Pierre poursuit actuellement un baccalauréat en communication et politique à l’université de Montréal. Alliant études et activités professionnelles à Port-au-Prince, Washington, Paris et Londres. Il a successivement eu de formidables expériences au sein de grandes entreprises privées et institutions publiques comme le Parlement fédéral du Canada, Humakare, Desjardins et Bell Canada entre autres.

Étant passionné par des enjeux touchant la jeunesse, la démocratie et la gouvernance publique. Jean-Pierre a siégé à de nombreux conseils d’administration d’entités reconnues comme JLAC, TNJH, ADIS ou encore HULT PRIZE. Ainsi qu’à des tables de concertation intersectorielle à titre de jeune ambassadeur de la francophonie des Amériques, ou jeune ministre de la Communication du gouvernement jeunesse d’Haïti par exemple.

Au fil des ans, Mr. Jean-Pierre a reçu de nombreuses distinctions, dont le prix de reconnaissance de la Chambre des députés de l’État de New-York (2016) pour son implication auprès de plusieurs organismes de la société civile et le prix de « jeune leader inspirant » de la Tribune nationale de la jeunesse (2017). Karl-Ervin prononce régulièrement des conférences sur des sujets de société et tisse des liens durables avec d’autres acteurs à travers le monde autour d’initiatives citoyennes d’envergures.


M. Frédéric Letendre

Frédéric Letendre est avocat, fondateur de YULEX et agent de marques. Il possède plus de 25 ans d’expérience en droit des affaires, de la propriété intellectuelle et de la technologie auprès d’une clientèle composée principalement d’entreprises innovantes et technologiques, tant au Canada et qu’à l’étranger. Il a d’ailleurs commencé sa carrière en Europe (Bruxelles, Paris et Varsovie).

En tant qu’avocat en propriété intellectuelle et informatique, il est impliqué dans les entreprises numériques locales et internationales à toutes les étapes, du stade de start-up aux entreprises bien établies. Il a développé une expertise dans les alliances stratégiques, les licences, la création et l’exploitation de sociétés actives dans divers secteurs tels que le commerce électronique, la communication, la MedTech, l’EdTech ou encore le domaine manufacturier.

Frédéric siège ou a siégé à divers conseils d’administration d’organismes liés au développement économique ou technologique, dont l’École des entrepreneurs du Québec, Productique Québec, Continuum et CIAMIL.


M. Adil Mansouri
Adil est un expert en Design Thinking et en Innovation sociale qui œuvre pour créer des impacts systémiques dans les communautés. Il apporte une vision riche et un large savoir-faire pour résoudre les problématiques qui lui sont proposées, grâce à son expérience internationale en consulting et en innovation en Asie, en Europe, en Amérique Latine et du Nord.

Adil travaille actuellement chez Talsom à titre de directeur et responsable du studio de Design. Il accompagne les entreprises dans leurs projets de transformation d’affaires et organisationnelles. En parallèle, Adil travaille sur des projets d’innovation sociale avec des organismes à Montréal et à l’étranger avec Talsom ou à travers Humanos une OBNL qui utilise le design thinking pour résoudre des problématiques sociales. Il siège aussi sur le CA du Collectif La DAL, une épicerie autogérée à Saint Henri.

Adil détient une maîtrise en Ingénierie Financière de HEC Montréal et a travaillé en tant que Senior Manager en FRM chez PWC au Canada et en Malaisie entre 2012 et 2017.


Mme Marianne Forcier-Gerovaggelis, CPA

Marianne est détentrice d’un baccalauréat en études internationales profil science politique, d’un B.A.A en sciences comptables et d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en pratique comptable. Elle écrit l’Examen Commun Final de l’Ordre des CPA du Québec en 2015 et se voit officiellement octroyée son titre de CPA auditeur en 2017. 

Depuis 2014, elle travaille en certification chez Raymond Chabot Grant Thornton. Œuvrant dans une équipe attitrée aux petites et moyennes entreprises, elle détient de l’expérience dans plusieurs secteurs d’intervention, soient les organismes sans but lucratif, les établissements du réseau de la santé et des services sociaux, les universités, les fonds communs de placement, ainsi que les régimes de retraite. Marianne détient également de l’expérience en recrutement et gestion de personnel ainsi en ce qui concerne l’établissement de meilleures pratiques et procédures pour des projets spécifiques. 


Mme Sandra Saint-Fleur

Sandra Saint-Fleur est une professionnelle qui a œuvré en Ressources Humaines depuis plus de 15 ans. Passionnée par les gens, elle a travaillé dans le secteur manufacturier, les télécommunications, le communautaire, l’aviation, la santé et le domaine financier.

Toujours prête à relever de nouveaux défis, Sandra a contribué au succès d’initiatives menant à l’engagement des employés, le soutien RH d’une unité d’affaires au Mexique, l’accompagnement de gestionnaires dans des projets de transformation en plus d’être le soutien stratégique dans le développement de programmes de Leadership pour cadres.

Sandra poursuit actuellement le 2ème niveau de sa formation en coaching.

Diplômée en administration des affaires (2003), elle détient un certificat de second cycle en Leadership (2005) et une Maîtrise en Intervention de Systèmes Humains (2012)


Mme Andréanne St-Gelais
Andréanne St-Gelais est titulaire d’une maîtrise en physiothérapie et en voie de compléter une maîtrise en administration publique. Elle détient également une certification en gouvernance des OBNL du Collège des administrateurs de sociétés de même qu’une attestation en gestion de projet et en négociation de HEC Montréal.

Elle oeuvre actuellement à titre de gestionnaire de projets auprès de diverses organisations qui font la promotion de la participation et de l’implication des femmes et qui cherchent à prévenir et contrer les violences à caractère sexuel. Auparavant, elle a occupé des fonctions de recherchiste et d’analyse de politiques publiques et a notamment assuré la présidence de la Fédération des associations étudiantes du campus de l’Université de Montréal.

Jean Savard

Jean Savard œuvre dans le secteur municipal depuis une trentaine d’années. Il a été le principal concepteur du modèle d’acceptabilité sociale de la Ville de Montréal qu’il a présenté dans plusieurs colloques internationaux de même que dans un ouvrage collectif(PUQ). Dès la fin des années 2000, il a multiplié les initiatives pour favoriser l’intégration des dispositifs de participation publique dans les pratiques de gestion de projet de la Ville. Au cours des dernières années, il s’est consacré à l’harmonisation et à la professionnalisation des pratiques de participation publique de l’administration montréalaise de même qu’aux enjeux de gouvernance des projets d’aménagement urbain. Il a enseigné la participation publique et la gestion des risques sociopolitiques à la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal pendant une douzaine d’années. Jean Savard est diplômé en journalisme (UQAM) et en gestion (HEC).


M. Fimba Tankoano

Détenteur d’un MBA en conseil en management, et de diplômes en Gestion des entreprises sociales et collectives et en Psychologie sociale, Fimba a œuvré ces quinze dernières années en développement social et communautaire au Québec et à l’étranger.

Originaire du Burkina Faso, il a d’abord mis ses compétences et son dynamisme au service de ses concitoyens. Il a contribué au lancement du Réseau africain jeunesse santé et développement du Burkina Faso; appuyé le Service allemand de développement dans l’accompagnement d’un consortium d’ONG pour l’intégration de l’approche basée sur les droits (RBA) dans leurs programmes; et soutenu la création de la « Coalition Fimba pour le genre » regroupant 13 ONG travaillant dans la promotion de l’approche genre et développement.

Fimba Tankoano a poursuivi son engagement au Québec dès 2008 en s’impliquant au sein d’organismes communautaires à Montréal. Il a entre autres été directeur général de la Fédération des centres d’action bénévole du Québec. Il est membre de l’Ordre des administrateurs agréés du Québec et est actuellement directeur général de Concertation Horizon.

L’Institut du Nouveau Monde (INM) est une société à but non lucratif, incorporée en vertu de la 3e partie de la Loi sur les compagnies depuis le 20 janvier 2003.

L’Institut s’est doté d’une structure légère, économiquement efficace, capable de mettre en oeuvre des projets ambitieux dans de courts délais. L’INM s’appuie également sur un fort réseau d’experts dans toutes les disciplines et sur des partenaires privés.

Les membres de l’INM forment l’assemblée générale. Celle-ci se réunit au moins une fois par année, reçoit et examine le rapport d’activités et les états financiers de l’Institut, et élit les administrateurs de la corporation.

Plus formellement, elle se tient à la date et à l’heure que le conseil d’administration détermine chaque année, pour procéder à l’examen des états financiers et du rapport du conseil d’administration, à l’élection des administrateurs et, s’il y a lieu, à l’étude du rapport du vérificateur ou de l’expert-comptable, à la nomination ou au renouvellement du mandat de ce dernier ainsi qu’à la détermination de leur rémunération pour l’année en cours.
  • Lauréat du Prix Claire-Bonenfant du gouvernement du Québec (2005)
  • Le gouvernement du Québec confirme la reconnaissance de l’École d’été dans la Stratégie d’action jeunesse, qui assure un financement pendant cinq ans, financement qui sera reconduit par la suite (2009)
  • CIVICUS, alliance mondiale d’organisations de la société civile et d’activistes qui s’engagent à renforcer l’action citoyenne et la société civile, choisit l’INM pour l’organisation annuelle de ses Assemblées mondiales (2010, 2011, 2012)
  • Désignation de l’École d’été comme l’une des trois meilleures pratiques d’éducation civique au Canada par l’Institut pour la citoyenneté canadienne (2010)
  • Prix Palmarès de la Soirée Élixir de PMI-Montréal pour la gestion de projet de la démarche sur l’éducation à la petite enfance (2017)
  • L’INM est invité comme membre du Groupe de travail du MAHM sur l’urbanisme participatif (2017)
  • Sélection de la Ville de Montréal pour la curation Mon été culturel avec le projet balado Nous autres (2020)
  • La directrice générale de l’INM est choisie pour siéger à la Commission canadienne de l’expression démocratique (2020)
  • Finaliste au Concours Élixir 2021 de PMI-Montréal pour les forums de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse (2021)
Notre politique de confidentialité est disponible dans le lien ci-dessous:
Communiquez avec Mathieu Arsenault, conseiller principal et coordonnateur, communications et relations de presse pour toute question relative à la protection des données personnelles.
1 877 934-5999, poste 230

L’INM ne tolère ni n’admet aucune forme de harcèlement envers quiconque :

  • entre les membres du personnel (ci-après : le « personnel ») , quel que soit leur niveau hiérarchique
    au sein de l’organisation, incluant les contractuels et les stagiaires, que leur stage soit rémunéré ou pas;
  • de la part de toute personne qui lui est associée : membres du conseil d’administration, collaborateurs·trices,
    clients·es, partenaires, participants·es, fournisseurs, bénévoles, ou autres (ci-après : « personne associée »).

Dans le cadre de la présente politique, le terme « harcèlement » est utilisé pour couvrir tout type de harcèlement,
incluant le harcèlement sexuel et psychologique.

Tout personnel qui a un comportement harcelant peut faire l’objet de mesures adéquates pour mettre fin au
harcèlement, et de mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’au congédiement.

Toute personne associée à l’INM qui a un comportement harcelant peut faire l’objet de mesures adéquates
pour mettre fin au harcèlement, interrompre ou bannir la relation.

Les mesures applicables à une personne membre du conseil d’administration de l’INM ayant un comportement
harcelant relèvent cependant du conseil d’administration lui-même et ne sont pas prévues à la présente politique.
Le signalement d’un comportement harcelant de la part d’un membre du conseil d’administration envers le personnel
se fait à la personne qui occupe le poste de directeur ou de directrice générale (ci-après : « direction générale »).

Par la présente politique, l’INM s’engage à prendre les moyens raisonnables pour :

  • offrir au personnel un milieu de travail exempt de toute forme de harcèlement afin de protéger leur dignité
    ainsi que leur intégrité psychologique et physique, de même qu’aux personnes associées à l’INM;
  • diffuser la présente politique de manière à la rendre accessible au personnel et aux personnes associées,
    notamment par les moyens décrits à la section Prévention;
  • diffuser la politique pour que les personnes associées à l’INM puissent en être informée et la consulter.

La présente politique remplace la version précédente adoptée en 2017 et mise à jour en 2018.

Cette politique est mise à jour périodiquement et minimalement aux 3 ans.

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