Anamê Gnanguenon est une franco-béninoise engagée pour l’accès à la justice sociale. À travers son engagement communautaire, journalistique et artistique, elle se mobilise pour la défense des droits et l’empowerment des communautés sous représentées.

Elle s’implique pendant 5 ans au sein de l’organisation Anti Racism Movement qui défend les travailleuses domestiques migrantes sous le système d’esclavage moderne de la kafala au Liban. Elle mène auprès des femmes des discussions autour de l’afro féminisme, des ateliers de mobilisation politique et des formations de leadership.

Anis Boukhari est né à Montréal de parents algériens. Il étudie actuellement au Collège Jean-de-Brébeuf en sciences de la santé.
Il porte une grande importance aux enjeux qui touchent sa communauté, ce qu’il démontre à travers son implication au sein d’organismes tels que Tel-Jeunes et Moisson Montréal. Fervent de la musique, il pratique la contrebasse dans un orchestre symphonique.

Étudiant en troisième année de science politique spécialisé en relation internationale. 

Jeune ivoirien installé depuis deux ans à Montréal, Basile est un être animé par la politique, l’art et la mode.

Animé par les enjeux sociaux, Basile étudie les relations Occident-Afrique et comment la structure du système international découle sur nos interactions sociales et interpersonnelles. Pour lui, entre racisme, néocolonialisme et impérialisme, la lutte contre l’oppression ne s’arrête pas. Basile a décidé de dédier une partie de son temps à l’étude approfondie de l’Histoire de l’Afrique et de la communauté noire en général pour pouvoir restaurer à sa communauté, la lettre d’or qui lui revient de droit.

Étudiant au doctorat et chercheur au centre d’études sur l’intégration et la mondialisation (CEIM) de l’UQAM. Passionné de l’engagement social, je m’implique au sein du comité local de l’Entraide Universitaire du Canada (EUMC) de l’UQAM notamment dans le programme de parrainage des étudiants réfugiés (PER). J’ai récemment mené une recherche financée par le FRQSC sur les enjeux du vivre ensemble et la cyber-violence face aux biais algorithmiques notamment lors de la pandémie de la Covid-19.

Étudiante en médecine à l’université McGill et passionnée des arts, je vagabonde avec mon bagage méli-mélo débordant d’engagement tout en aspirant à devenir une force de bien dans ma communauté. Croyant fermement en la valeur de la diversité et de l’inclusion, je veux contribuer à la promotion de l’harmonie interculturelle et la compréhension mutuelle entre les individus de différents horizons. Par le biais de ce projet qui encourage la réflexion et le dialogue, j’espère aider à concrétiser le vivre-ensemble afin qu’il ne demeure pas qu’une simple ambition sans médium.

Fraîchement arrivée au Canada il y a à peine 2 mois, avec une expérience en marketing. Je suis enthousiaste et j’ai soif de découverte et d’apprentissage. Je considère que les arts sont une expression de l’âme dans toute sa splendeur et que c’est le ciment du mieux vivre ensemble.

Je me présente Kumaran Satkunanathan. Je suis, actuellement, un étudiant en économie et politique à l’Université de Concordia. Je suis une personne qui aime l’action collective. J’adore trouver des solutions à toutes sortes de problème et de créer une sensibilisation auprès de ma communauté. Dans le passé, j’ai eu la chance de contribuer dans plusieurs projets différents qui m’ont permis de m’outiller davantage en tant qu’un étudiant engagé et un citoyen responsable.

Je suis, aussi, un entrepreneur et un créateur de contenu. J’ai une chaîne YouTube dans laquelle je diffuse des contenus de sensibilisation et de divertissement. Je travaille, présentement, sur des projets entrepreneuriaux qui ont pour but d’amener un changement important dans notre société.

Par mes actions, j’aimerais bâtir un meilleur avenir pour notre monde et inspirer la future génération à agir de même.

Depuis 2020, j’ai commencé à travailler dans des organismes communautaires destinés à la facilitation de l’intégration socioprofessionnelle des personnes immigrantes. Que ce soit en donnant des formations, ou en organisant des activités collectives, je cherche à susciter la prise de parole chez les nouveaux arrivants. L’approche inter-culturelle me permet de motiver la compréhension entre les différentes cultures et ainsi, co-créer le sentiment d’appartenance envers notre société d’accueil québécoise.

En tant que jeune ambassadrice pour le vivre ensemble, je suis contente d’entreprendre des actions pour ouvrir le dialogue entre différentes cultures et communautés qui enrichissent le Québec. Ma curiosité envers mon entourage me permet de m’engager dans le respect et la célébration des différences qui nous composent en harmonie. Quand je pense au vivre ensemble, j’imagine une fête pour honorer nos chemins et nos compétences aux rythmes, couleurs et goûts variés. Une manière de contribuer à cette célébration est à travers l’écoute et le partage des histoires de vie puissantes d’un côté, et de l’autre en m’impliquant avec différents milieux de notre société. Présentement, je suis étudiante de deuxième cycle en études littéraires à l’UQÀM, et concentration en études féministes à l’IREF. Donc, mon positionnement envers le vivre ensemble est créatif et féministe à la fois.

L’enjeu de la santé mentale m’intéresse, car je suis consciente des conséquences occasionnées par des violences et des injustices sociales qui peuvent nuire à l’épanouissement de l’individu et de la même manière, je reconnais les multiples bénéfices apportés par le travail de guérison collective et individuelle. Je me sens confiante et optimiste vis-à-vis de la libération de notre parole accueillie de manière bienveillante dans un milieu sécuritaire. En plus de nous offrir un espace pour tisser des liens créatifs et collaboratifs avec d’autres jeunes engagé.e.s dans la participation citoyenne et le vivre ensemble, l’Institut du Nouveau Monde nous donne la belle possibilité de mettre en valeur la liberté d’expression des différentes communautés montréalaises. Merci nous en sommes reconnaissant.e.s! Au plaisir de vous rencontrer ce 20 août chères auditrices et chers auditeurs!

C’est à Montréal que Melissa Ben Meddour est née et s’est formée en tant que jeune adulte grâce à ses nombreuses implications, ses études et bien plus encore. Elle a récemment complété un baccalauréat en science politique et en études de l’Asie de l’Est. Elle a effectué une année d’étude au Japon et un stage en journalisme au sein du journal La Converse. Son intérêt marqué pour l’inclusion et la jeunesse l’a amené à s’impliquer au sein du Conseil jeunesse de Montréal.
Pour Melissa, le vivre-ensemble est possible si nous tenons un dialogue sincère et nous restons optimistes face à l’avenir.

Étudiante de dernière année au baccalauréat en Études internationales à l’UdeM, je suis passionnée et engagée dans les domaines de la justice sociale, de la représentation d’intérêts et des affaires internationales. J’aspire à apporter des changements positifs au travers des projets que j’entreprends!

Étudiante en droit, elle concilie ses études avec une place sur l’équipe de cheerleading des Carabins de l’Université de Montréal. Constamment à la recherche de nouveaux défis et de nouvelles aventures, Zoé a passé près d’un an en immersion au Brésil, dans le cadre d’un échange, une expérience qui s’est voulue marquante pour ce qu’elle aura appris sur elle-même, mais aussi pour les nouvelles perspectives de vie acquises lors de son séjour.

Détentrice d’un baccalauréat en journalisme et d’un diplôme de second cycle en développement économique communautaire, Gisèle a travaillé pendant trois ans à la création et au développement d’une radio étudiante dans une école secondaire de Montréal-Nord. Son parcours lui a permis de s’intéresser aux questions d’éducation, d’inclusion et de représentativité, notamment en s’impliquant dans des projets de l’INM. Aujourd’hui, Gisèle travaille au Collectif social en tant que chargée de projets.

Humoriste féministe, anti-raciste et écolo qui a toujours des snacks dans sa sacoche, Emna Achour a récemment troqué le boys club du journalisme sportif pour se lancer dans celui de l’humour. Elle se sert dorénavant de sa tribune non plus pour parler de buts et de points, mais plutôt d’enjeux comme le sexisme et le manque de représentation des communautés culturelles dans les médias.